Franc succès pour Nashville en Beauce
FESTIVAL. C’est sous un soleil éclatant que s’est clôturée la 13e édition de Nashville en Beauce. Une panoplie d’activités pour petits et grands s’est déroulée, du 28 juillet au 7 août, à Saint-Prosper. Malgré deux ans d’absence, le festival a attiré de nombreux participants tout au long de l’événement.
La programmation de la dernière journée des festivités a débuté, de 8 h à 12 h, avec le brunch, organisé par les Chevaliers de Colomb, au Centre récréatif Desjardins. À 9 h 30, la messe country-gospel a été célébrée à l’église de Nashville.
La très attendue parade de chevaux et chars allégoriques a commencé à 12 h 30. De nombreux curieux longeaient le trajet à travers le centre de Saint-Prosper. À 13 h, au Ranch Beauceron, avait lieu le Gala amateur de musique et chant accompagné. Pour les amoureux de la danse, de 13 h 30 à 17 h 30, ils pouvaient se déhancher au Chapiteau Desjardins avec Walking the Country.
Finalement, à 17 h 30, toujours sous le -Chapiteau -Desjardins, les gens pouvaient poursuivre la danse avec Sylvie Roy. Pendant l’après-midi, les plus jeunes pouvaient se faire maquiller et s’amuser dans les jeux gonflables à l’Espace Desjardins. Même si la plupart des activités étaient gratuites, certaines étaient payantes, comme les spectacles en soirée.
Des participants satisfaits
Parmi la foule, une dame de Sainte-Justine, Diane Pouliot, assistait à la parade pour la première fois. « C’était très bien organisé. Nous sommes venus vers la fin si on avait su que c’était comme ça on serait venu dès le début ». Elle a trouvé les gens sympathiques et les activités intéressantes. Cette amatrice de musique country espère revenir pour les prochaines éditions.
Bilan provisoire
Selon la présidente du comité organisateur de Nashville en Beauce, Suzanne Lantagne, le festival se termine sur une bonne note. « Au niveau des bénévoles cela a été plus ardu, mais finalement on en a trouvé ». Malgré deux ans de pandémie, les gens étaient au rendez-vous. Ils étaient nombreux aux diverses activités pendant les festivités. « On n’a eu aucun problème à avoir des commanditaires. On les appelait et ils répondaient oui », a-t-elle conclu.